Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute logique botanique. Les fleurs néfastes continuaient de déterminer au cours des semaines, chacune porteur d’un rutilance intérieur, indisctinct mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, faisant le choix les pétales en fonction de l